Je suis au centre du plateau et je pleure. Je pleure parce que nous sommes tous soulevés d'un élan vibrant, parce que c'est mon texte, parce que c'est notre travail à tous, parce que la salle peu à peu se lève, et va applaudir sans relâche pendant presque dix minutes... Et nous, baladins qui n'avons pas pensé à filmer, n'avons que quelques vidéos prises par des spectateurs, et que je vous offre... Car même si l'image est floue,
l'émotion est palpable.